Il a notamment déclaré sur France-Info "qu'il faut qu'il muscle son histoire, l'histoire qu'il nous raconte, la vision qu'il a pour la France, pour l'Europe". D. COHN-BENDIT juge qu'E. MACRON est surtout en meilleure position pour faire face à Nicolas SARKOZY si ce dernier gagne la primaire à droite... "Il est à touche-touche avec SARKOZY au premier tour".
Après les décisions conduisant à bannir progressivement le diesel, l'industrie pétrolière contre-attaque : FUELS-EUROPE (qui défend ses intérêts) vient de publier un rapport soutenant qu'avec les futures normes "EURO 6D" les nouvelles voitures diesel ne pollueront pas plus que les véhicules dits à zéro émission qui ont la faveur de la Commission Européenne. A noter que le Ministre de la Transition Ecologique et Solidaire, Nicolas HULOT, a annoncé la fin de la commercialisation (diesel et essence) à l'horizon 2040.
Alain JUPPÉ vient de rédiger la préface de la biographie de Jacques CHIRAC signée par Catherine CLEMENT (à paraître le 15 octobre). Un texte dans lequel il vante les capacités "d'apaisement" et de "rassemblement" de CHIRAC ainsi que sa résistance à l'extrême-droite. Autrement dit, en quelque sorte, "l'anti-portrait" de Nicolas SARKOZY.
« Il serait naïf de croire que les questions financières d'une campagne présidentielle échappent totalement à un candidat quel qu'il soit. Tout le monde peut comprendre que 44 meetings organisés dans la précipitation, cela coûte bien plus cher que les quatre meetings initialement prévus … la vérité c'est que le train était lancé à toute vitesse et que personne n'a su l'arrêter … Difficile de penser que Nicolas Sarkozy n'était au courant de rien ».
Nicolas SARKOZY aurait dit : "Asséner une telle bêtise en 2015 ! Elle aurait pu parler des frontières, d'identité ou de racines mais parler des races quand on n'est pas Lévi-Strauss... Elle ne sait décidément pas quoi faire pour exister". Réplique de N. MORANO : "Il ne m'aime plus et moi je le déteste. C'est un mec néfaste".
On peut notamment lire dans cet interview les passages suivants : « c’est la démographie qui fait l’Histoire et pas l’Histoire qui fait la démographie ; dans nos démocraties il est plus ?démocratique? d’empêcher de faire que de faire ; je ne suis plus dans le combat politique, je m’abstiendrai donc de critiquer E. MACRON ; d’ailleurs en matière de critique il semble servi … ».
qui écrit dans Le Monde du 28 avril : « En Amérique, le Président jure sur la Bible, en France il pose devant la bibliothèque. Les reliures pourpres sont là, personne ne les lit jamais, mais il est essentiel qu’elles soient dans le champ visuel. Que l’on sache que l’esprit des lettres imprègne la conscience du nouvel élu ». Jugement de CREPU sur les différents présidents : « F. MITTERAND a gardé la littérature pour l’amour plus que pour la politique … CHIRAC n’y pensait tout bonnement pas, SARKOZY par foucades débridées, GISCARD au retour de la chasse, HOLLANDE préférant la lecture du journal. Il faut remonter à POMPIDOU avant Jésus-Christ pour entendre ELUARD à l’Elysée. Et MACRON ? C’est le travail d’une revue de chercher à le savoir ».
La plupart des candidats à la présidentielle promettent des consultations populaires pour réformer le pays. Pour le Professeur Dominique ROUSSEAU : "C'est un moyen utilisé par les gouvernants pour catalyser le ressentiment populaire à l'égard des représentants... Ce genre de consultation n'a jamais fait avancer la démocratie en France mais précède l'installation de régimes autoritaires. C'est l'avènement de l'Empire en 1804 ou la fin de la IIème République avec Louis-Napoléon Bonaparte en 1851". Selon N. SARKOZY "le référendum permet de retremper la légitimité du gouvernement dans le suffrage universel".
"Un homme qui affiche aussi constamment qu'il lutte contre ce qu'il dit, ne peut, à la longue que susciter la méfiance de ses auditeurs surtout quand ses actes ne sont pas en harmonie avec ses paroles. L'on se demande alors si la conjoncture est la seule cause de ses échecs politiques et économiques."
Le 6 mars dernier « Requiem de Karol BEFFA en hommage à une droite défunte ; commande du banquier d’affaires Philippe VILLIN à K. BEFFA » ; commande qui « reflétait pour VILLIN la nécessité par une catharsis l’extrême peine que m’avaient infligé Monsieur FILLON et sa clique ». Ph. VILLIN a déclaré : « Je voudrais que FILLON écoute ces tonalités crépusculaires en boucle pour mieux expier sa faute ». Nicolas SARKOZY, informé de cette initiative musicale, en aurait « beaucoup ri ». Mais il s’est abstenu de participer au concert en tant qu’auditeur bien sûr …