BIO et scientifiques

Selon le Professeur Philippe GRANDJEAN « le bio est meilleur pour la santé, à la condition que sa production soit suffisante pour nourrir une population grandissante ». Et d’ajouter : « il y a un accent disproportionné mis sur la production d’une agriculture chimique plus efficace qui présente un intérêt industriel … l’UE n’exige même pas de tests de neurotoxicité avant l’approbation d’un pesticide, ce que nous devons changer. Nous devons réduire le fardeau des pesticides et nous assurer que les substances approuvées ne peuvent pas endommager les cerveaux de la prochaine génération.