MONTANER

On peut être propriétaire d’un cheval sans disposer d’un lieu pour l’héberger. Suite à la demande d’une amie, Bérénice Barbé s’est lancée dans la pension de chevaux. Disposant d’un bâtiment agricole à Montaner, elle l’a aménagé en box, sellerie, aire de douche, avec paddocks et carrière en herbe. Elle s’occupe d’une quinzaine d’équidés pour le plus grand bonheur de leurs propriétaires. Du cavalier/loisir au dresseur, chacun trouve là tout le confort pour le bien-être de son compagnon.
A 23 ans, Bérénice déborde de projets. La prochaine étape sera la réalisation d’une écurie sur un second site avec carrière en sable semi-couverte, le recyclage de l’emplacement actuel en pension vacances et retraite, et pourquoi pas un gîte étape. Retrouvez les Ecuries de Fébus sur leur page Facebook.

IHOLDY

Un couple, une passion A l’arrivée à la ferme Azkaratia à Iholdy, Jean et Michèle Acheritogaray nous accueillent  avec Beltxa et Eder, deux de leurs borders collies. Leur passion : le dressage de chiens de troupeaux. Enthousiasme visiblement partagé par les chiens eux-mêmes au vu de leur fougue à rassembler les manex têtes noires, et du regard adorateur qu’ils portent à leurs maîtres ! Il y a 30 ans, Jean s’éprend de cette race et de ses aptitudes hors du commun. Michèle, son épouse, ne tarde pas à se laisser gagner à son tour. Des années de concours, de démonstrations, et autres championnats du Monde n’ont pas émoussé leur intérêt toujours aussi vif et renouvelé à chacun de leurs chiens.

AHETZE

« A l’ADER... vous êtes les seuls à avoir cru en moi ! ».
Ce sommet du compliment, nous l’avons reçu, de Stéphanie Fourcade, jeune cavalière installée à Ahetze.
Aussi fine technicienne du cheval qu’adroite dans la relation, elle a su se faire accepter dans un monde très sensible à l’attraction touristique et à la pression foncière. Elle a su tisser des liens avec les gens du pays et être crédible pour élaborer un partenariat qui lui a ouvert les portes du métier.
Stéphanie accueille dans des installations neuves un public passionné qu’elle a su captiver par la qualité de son service.
Comme quoi, détermination, talent et esprit de conciliation sont des clés de succès.

ARZACQ

Vendre le « Bar Tabac » familial transmis aux enfants depuis 4 générations...

Catherine Berné ne pouvait le concevoir !  C’est ainsi que depuis deux ans, elle relève quotidiennement le défi d’animer ce lieu de rencontres route de Doumy à Arzacq.

De 7 heures30 à 20 heures, Catherine s’affaire certes derrière son comptoir de vente, mais pas que… puisqu’elle a aussi repris une tradition  héritée de sa grand-mère : le service de repas sur réservation. 

Et le soir, place aux concours de belote et dégustation de tapas.
Catherine Berné a bien raison, il aurait été dommage d’interrompre la tradition familiale !