REBENACQ

C’est à Rébénacq que Josiane et Bruno Minvielle élèvent un troupeau de 50 vaches laitières dans le cadre du Gaec de Marty.
En 2006 et contre toute attente, leur fille Pascale, comptable de formation, leur propose de rejoindre l’exploitation en créant son propre atelier de fabrication de fromage.
L’avenir de l’entreprise s’en trouve modifié. Bruno imagine maintenant des scénarii pour lui permettre de prendre sa retraite. Trouver un salarié ? Un associé ?… Rien n’est simple et se décider aujourd’hui alors qu’il reste quelques années d’activité se révèle bien plus complexe que prévu !

URRUGNE

Marie-Hélène Goya a toute sa vie fait la tournée du lait autour d’Urrugne.
Aujourd’hui elle vient de constituer le Gaec Celaya  avec sa nièce Célia.
En plus de la tournée qui perdure, le Gaec a démarré une activité de volailles en vente directe : 400 poules pondeuses et 4 parcs de 500 poulets à l’unité ont été mis en chantier. Le tout parachevé par un laboratoire permettant d’emmener le produit jusqu’au consommateur.
Qu’il s’agisse des clients directs ou des AMAP du Sud Pays Basque les consommateurs ont été immédiatement au rendez vous et ont permis l’éclosion de ce projet articulé autour de la vente directe.

PAU

L’expérience terrain comme tremplin pédagogique

Passer de sapeur-pompier de Paris à entrepreneur, pourquoi pas ? En 2011, Nicolas Behocaray se lance et crée la « SARL AFIS » (Aquitaine Formation Incendie et Secourisme) à Pau. L’idée n’était certainement pas improvisée. En écoutant cet entrepreneur parler on détecte stratégie, expérience de terrain, professionnalisme et rigueur créative. Aujourd’hui, vingt formateurs spécialisés animent un panel étendu de thèmes liés à la Santé et Sécurité au travail et ce, pour le bénéfice de multiples organismes publics ou entreprises privées. L’aventure AFIS ne s’arrête pas là, les projets fourmillent : embauche, agrandissement des lieux pédagogiques, achat de nouveaux matériels, édition de supports pédagogiques… Autant de sujets que Monsieur Behocaray souhaite travailler avec l’ADER, ceux qu’il nomme « des gens de confiance et de bon conseil ».

LAHOURCADE

A 17 ans, un brevet d’apprentissage agricole en poche, Daniel Courrèges reprend l’exploitation familiale de Lahourcade qu’il va développer au fil des années pour exploiter aujourd’hui 120 hectares de céréales auxquels il a adjoint une activité de travaux agricoles.
Depuis 5-6 ans, pour « lever le pied », il a cédé à un collègue l’activité de battage. Aujourd’hui, à 60 ans, il souhaite « passer à autre chose »… et fait le choix de transmettre son exploitation et son entreprise de travaux agricoles à Lucas, 20 ans qu’il connait bien comme apprenti sur la ferme, auquel il fait totalement confiance et qu’il a l’intention de seconder avec Fernand, son fidèle salarié dont l’expérience sera très précieuse. Projet économique certes, pédagogique également… mais avant tout très belle aventure humaine… dans l’idée du service client auquel Daniel tient tant !